L'empreinte optique sous digue : un must pour les inlays / onlays !
Olivier ETIENNE
Fig 1. Situation initiale. Les amalgames infiltrés sur 15 et 16 seront remplacés par deux inlays. Le composite défectueux sur 14 sera refait après le collage des inlays, afin d'optimiser le profil et le contact inter-proximal 14/15. |
Fig 2. La mise en place de la digue est indispensable pour la réalisation du CDO (Cavity Design Optimization) : autant en profiter ! |
Fig 3. Un premier scan intra-oral (Trios 3, 3Shape-Lyra), digue en place, permet d'enregistrer les limites des box proximaux de façon très précise. La présence de surfaces non préparées et scannées autour est indispensable. |
Fig 4. Les surfaces d'importance, à conserver, sont identifiées (couleur cyan ici) grâce à l'option "verrouiller la surface". |
Fig 5. Avec l'outil "découper", l'empreinte est effacée, à l'exception des surfaces dentaires, qui permettront à la caméra de reprendre le fil du scannage. |
Fig 6. La digue est déposée, puis en se repositionnant sur les surfaces dentaires conservées, le scan intra-oral est repris puis finalisé. En blanc figurent les zones "verrouillées" que le nouveau scannage ne peut effacer. |
Fig 7. L'empreinte optique est post-traitée. Elle présente un enregistrement excellent dans les zones difficiles d'accès que sont les fonds de box et les limites proximales. |
Fig 8. Situation finale après collage des deux inlays sur 15 et 16, et réfection du composite sur 14. |